Ce chant de Noël fut composé en 1818 à Oberndorf par l’organiste autrichien Franz Xaver Gruber (1787–1863) sur un poème écrit en 1816 par le prêtre Joseph Mohr (1792-1848). L’enregistrement suivant propose, sur un harmonica double, de mettre en avant le rythme de la valse à l’aide d’une technique de langue qui permet de faire entendre des accords sur les contretemps sans interrompre la mélodie.
Interprété sur un harmonica trémolo 16 trous Richter en Do
Schéma de l'échelle mélodique sur l'harmonica sélectionné
( Trémolo 16 trous Richter en Do )
Aspiré | Sol4 |
Si4 |
Ré5 |
Fa5 |
La5 |
Si5 |
Ré6 |
Fa6 |
||||||||
Trou | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
Soufflé | Mi4 |
Sol4 |
Do5 |
Mi5 |
Sol5 |
Do6 |
Mi6 |
Sol6 |
- Niveau de complexité 015149
Tablature suggérée
( pour Richter standard en Do )
Mélodie en Do en 1e position |
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Paroles associées à cet air
Stille Nacht, heilige Nacht
Alles schläft, einsam wacht
Nur das traute heilige Paar
Holder Knabe im lockigten Haar
Schlafe in himmlischer Ruh
Schlafe in himmlischer Ruh
(…)
Douce nuit, sainte nuit
Dans les cieux l’astre luit
Le mystère annoncé s’accomplit
Cet enfant sur la paille endormi
C’est l’amour infini
C’est l’amour infini
- Année1818
- Ton (Mélodie)Do
- ModeMajeur diatonique
- HarmonicaTrémolo 16 trous Richter
- Tonalité (Harmonica)Do
- Position1 ère
- TechniqueJeu naturel Jeu droit Jeu semi-valvé Mordant Rythmique
- CollectionChanson Composition Comptine Trad